Coaching de développement personnel
Selon Frederic Hudson, le père de la psychlogie américaine, le changement est devenu la seule certitude de nos vies; les gens et les organisations vivent dans l’incertitude perpétuelle et la peur.
Peu d’entre eux formulent des plans à long terme, ils suivent simplement leur emploi du temps surchargé au jour le jour. Le problème vient du fait qu’alors que nous voyons la société passer d’un modèle « stable – ordonné – équilibré» à un modèle de changement continu et désordonné, nous vivons encore, la plupart d’entre nous, selon les anciennes règles. Et nous rageons de voir qu’elles ne fonctionnent plus.
Au lieu d’apprendre comment nous épanouir dans un monde de changement, nous nous considérons comme en fin de course, trompés, sans références.
Dans ce contexte, le coach est une ressource utile pour promouvoir le renouvellement et l’apprentissage.
Quelques thèmes traités :
- Prendre du recul
- Lâcher prise
- Vivre avec zéro parasitage
- La reconversion professionnelle
- La prise de décision
- L’affirmation de soi / La confiance en soi
- S’orienter en fonction de ses valeurs
- Développer des relations saines et constructives
- Etc…
Témoignage d’une cliente après quelques séances :
« Mon éducation et l’univers dans lequel j’ai évolué ont en partie fait de moi ce que j’étais hier : une personne malheureuse et perdue. Je ne savais pas ce que je voulais, ce que j’aimais, ce qui me faisait du bien. Je faisais les choses parce qu’ « on » dit que c’est ce qu’il faut faire, sans en éprouver ni bonheur ni satisfaction. Pire, je culpabilisais et j’étais malheureuse de ne pas être comme ceci ou comme cela non pas parce que c’est ce que j’aurais aimé être mais parce que j’avais l’impression que c’est ce qu’il fallait être.
Je ne remets pas pour autant en cause tout mon parcours. Mon éducation et mes expériences font que, comme tout un chacun, j’ai des qualités et certains traits de caractère pouvant être améliorés. Peut-être pas forcément ceux auxquels je pensais mais j’apprends à les connaitre pour être plus honnête avec moi-même et prendre conscience de mes forces.
Un de mes principaux points forts est que face au constat de mon mal être, je ne baisse pas les bras et je fais le choix d’investir sur moi-même. Je fais l’effort de chercher à me connaître, de découvrir qui je suis vraiment pour savoir comment me construire une vie épanouie qui me ressemble, qui a du sens à mes yeux et dont je sois fière.
Pour cela je me fais confiance et mes capacités cérébrales me permettront d’accepter ce que je ne peux changer et de changer ce qu’il m’est possible de changer et que je souhaite changer. Mon cerveau peut se reformater et modifier certaines façons de penser qui me sont néfastes. J’ai déjà commencé à assimiler l’idée que la comparaison avec d’autres personnes est inutile et stérile puisque chaque personne est unique, avec ses propres valeurs et désirs. Comparer des situations ou objectiver des accomplissements de vie sans tenir compte de l’unicité des individus revient à les emprisonner dans des cases inhibitrices voir destructrices de désir et identité. Je veux vivre une vie qui me ressemble et pour cela j’accepte l’idée qu’elle ne ressemble pas à celles des autres. Je suis unique ma vie est donc unique et je suis la seule à la vivre.
Malgré tout, il y a une chose sur laquelle nous sommes tous à égalité : le moment présent et la vie en elle-même se résume à ce moment présent. Il faut donc que je lui sois plus attentive pour mieux le vivre, l’apprécier et ainsi augmenter ma capacité au bonheur. Il faut que j’utilise chaque moment pour apprendre, essayer de nouvelles choses sans avoir peur de l’échec en écoutant mes envies et mes désirs. Ma peur de l’échec m’a permis de réussir mes études dans un domaine qui ne me passionnait pas vraiment. Le succès m’a poussé à m’enfermée un peu plus, d’année en année jusqu’au Master et m’a conduit à des métiers et un domaine d’activité dans lequel je ne me sens finalement pas à ma place.
A première vue, réussir brillamment ses études semble être une vraie réussite mais les conséquences que cela a eu sur moi constituent un de mes plus grand échec et la principale cause de mon mal-être. En revanche cela m’a permis de savoir ce que je ne voulais pas ce qui est malgré tout une victoire.
Alors oui, c’est dur de réaliser qu’on a fait de mauvais choix. Oui c’est dur de se remettre en question, de partir à la recherche de soi. Oui ça peut être long et ça demande des efforts pour changer mais j’ai la certitude de vouloir savoir qui je suis pour utiliser pleinement mes 86 400 secondes quotidiennes. »